mercredi et jeudi 20 et 21/04

Joao-Machado-Guiafloripa

Au vernissage de l'exposition de João Machado, à l'institut qui porte le nom de son père Juarez Machado, présence de Roberto Razzini (L), Rita Razzini, Zezeca Pereira et du chic-cool Edson Machado. (Divulgation)

 

Cri et guacamole

Ce soir, à Gambazeira, le professeur Platts va préparer un repas à base de guacamole. Pour Feijão, un farceur de service de Santo Antônio, ce sera vraiment un « guascamole ». En fait, chaque fois qu'il y a un événement sur le trottoir de la rue principale de Centrinho, la communauté de Sambaqui et Santantônio exige qu'il soit fermé aux voitures. Que ce soit ce samedi 23 avril, lorsque le chef d'orchestre Wagner Segura et son groupe arrivent pour célébrer la Journée nationale du choro, un hommage à Pixinguinha.

 

D'ailleurs

La Soirée des Açores promue par la Casa dos Açores de Santa Catarina et la Casa de Cultura Clara Manso Avelar sur le Calçadão de Santo Antônio, était très cool. Musique traditionnelle, instruments de musique et conteurs joués dans l'espace extérieur du manoir, où une coque acoustique mobile est prévue.

 

Pas de rupture

Le sénateur ne pourra pas retarder le rite de la procédure de destitution. Ça tarde là-bas et le Brésil retourne dans la rue.

 

Jamp

Dona Dilma continue d'appuyer sur la touche de frappe. Le vrai coup (ou coup) a été donné par son gouvernement et son parti en utilisant l'argent sale de Petrolão dans sa campagne électorale.

 

du bon et du mauvais

Des sans-abri ont envahi le bâtiment public où opérait le Sacolão, sur le talus de la baie sud. Il appartient à l'Union. Les marchands ambulants et les vendeurs qui y travaillaient, payaient les impôts et s'occupaient de la propriété ont été expulsés sans pitié. Chez les sans-abri, personne ne met la main.

En enfer

L'ancien président Fernando Collor dit qu'il a même essayé d'aider en donnant des pourboires à Dilma. C'est un bon conseiller, le président. En fait, l'enfer regorge de bons conseils.

 

Bye Bye

Le journal américain Washington Post titrait ainsi la crise brésilienne : « Bye, bye darley ». Le traitement populaire s'est également répandu dans tout le Brésil : Au revoir chérie. Chez les petits manezinhos ça pourrait être : « Bye, nega ».

 

Tremblements de terre

Dona Dilma veut utiliser la tribune onusienne ce vendredi pour dénoncer (sic) l'opposition à son (on)gouvernement. Le thème de la réunion est le changement climatique. Tout le monde sait que le climat change vraiment au Brésil : pluies et orages. Peut-être un tsunami !

 

main embrassée

Le député fédéral de Rio de Janeiro, Jair Balssonaro, a trois enfants avec des mandats. L'un est également député fédéral de São Paulo, un autre député d'État de Rio de Janeiro et un autre conseiller municipal de Rio de Janeiro. Et il y a des gens qui se plaignent de João do Amin et Césinha de César Souza.

 

 


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